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Tenneco freine avec moins d'émissions

Que partagent les particules fines, les réglementations sauvages sur les émissions et les plaquettes high-tech?? Exact : elles freinent le monde. Ou elles le sauvent. Du moins chez Tenneco.

Publié le 29.04.2025

Alors qu’ailleurs les gaz d’échappement flottent dans l’air et que les régulateurs dorment encore profondément, en Europe, on affine déjà la lutte contre les particules fines – à coup de coefficient de friction, de microscope et de beaucoup de café. Tenneco, un nom que l'on associe habituellement aux plaquettes de frein et à la production de série, sort de son chapeau des matériaux high-tech dignes d’un roman de science-fiction. Moins de PM10, moins de PM2.5, moins de CO2 – sans compromis sur les performances ou la durabilité du freinage. En laboratoire, bien sûr. Car c’est là que Tenneco est en train de sauver le monde.

La nouvelle technologie de freinage répond déjà aux exigences de l'Euro 7. Et pour China 7, attendu pour 2026?? Prête aussi. Pendant que d’autres impriment encore des fiches techniques, Tenneco optimise déjà la friction grâce à l’IA, à la simulation virtuelle et à des matériaux recyclés – oui, même à partir de légumes racines recyclés. Sérieusement : au lieu d'un cocktail chimique synthétique, on utilise des matières premières naturelles et recyclées – sans que le frein ne grince ni ne faiblisse.

Et tandis qu’en Europe les nouvelles limites d’émissions de particules entreront en vigueur dès 2026, l’enthousiasme reste limité ailleurs. Là-bas, l’essentiel, c’est que ça freine. À Bruxelles, c’est : surtout que ça n’émette pas. Tenneco n’est pas seulement dans la course, il est en tête : avec des partenariats, des bancs d’essai et une connaissance des matériaux digne du XXI? siècle. Ainsi, une simple plaquette de frein devient soudainement une question politique à faibles émissions.


Texte: GAT
Photos: Tenneco

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